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, le il y a 3 années et 4 mois.
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Mais ça peut être un autre chemin que celui qui ne mène nulle part…. à méditer
C'est déjà tout médité. J'aime bien personnellement lorsque ça ne mène nul part. L'Art en général étant une discipline aux possibilités infinies, c'est comme voyager en empruntant une route tracée, sinueuse, cahoteuse, qui conduit vers une plateforme éjectable qui nous propulse nul part …
Merci pour ton retour positif.
on ressent vraiment leurs émotions
Merci, c'est un exercice difficile
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Etude d'inspiration au 3b sur A4 en mode “j'appuie grave sur la feuille”.
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@Deuxbe (Deuxbé) Un bon portrait encore une fois ! ^^
Merci pour ta gentillesse.
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Inspiré d'une statuette de cimetière un peu érodée, au pastel sur A4 gris 118g/m²
( Désolé pour la main qui ressemble à une courge, mais j'avais pas trop envie de passer trois plombes dessus
)Et une étude au 3B sur A4
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@secretworld (secretworld) Merci. C'est encore plus encourageant
@aad-1575441472 (aad-1575441472) Merci à toi…Une chose m’interpelle toutefois sur cette dernière étude : tu esquisses d’abord les volumes et ensuite tu places des parties osseuses?
Je passe beaucoup de temps à observer le modèle avant de faire le premier trait. Parfois 10 minutes… Je ferme les yeux, et je visualise mentalement… Orientation, projections, lignes convergentes etc…
Comme de coutume, je trace une “gesture” des lignes essentielles, principalement celle des vertèbres au coccyx, ensuite, dans le cas d'études trop tordues, je segmente les parties à comparaison de la hauteur de tête pour essayer de respecter des proportions corrects. Pour chaque segmentation j'essaie de capter l'orientation du plan par rapport au point de vue, soit la tête, le buste, la taille…
N'ayant pas encore bien la notion du corps humain je tâtonne un peu en esquissant les gros volumes. L'inconvénient de procéder de l'extérieur vers l'intérieur comme ils le font généralement dans les écoles d'art sur du modèle vivant, complexifie parfois lorsque c'est encombré d'organes. Dans ce cas là, j'essaie plutôt de l'intérieur vers l'extérieur, un peu à la façon du ” je dessine à l'envers “. Les plus gros muscles étant eux aussi assez forts en volume, je les adapte au corps. Ensuite je rajoute quelques fioritures…
Il n'y a pas de méthode à proprement parler pour rendre un modèle, la meilleure étant celle que l'on apprivoise le mieux. Mais mon obsession est de ne pas donner de nom à ce que je dessine, mais plutôt de penser ” Bloc “, ” Formes “, et “formes des valeurs” pour les portraits…
Dans tous les cas. tant que je ne serai pas capable de faire du complexe d'imagination, je continuerai d'étudier l'ensemble du corps humain. Il y a du pain sur la planche, car je redoute beaucoup les mains et les pieds..
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Etude au 3b sur A4
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